Altaïr
| Sujet: Fragment #481 - Synthèse 10.12.08 4:21 | |
| Mercredi 10 décembre 2008 à Paris Tête en feu. Nathan, Elisabeth, Robert, tous font partie d'un premier Clan qui a inspiré par la suite celui de Maya et Sethi Sélim, le Clan de l'Antiquaire. L'Antiquaire, c'est Charly Malvo, le père de Louis, le grand-père de Maura, Romain et Dimitri, l'ex mari de feu Michelle. Un visionnaire. Un homme qui a enfanté un journal dans lequel écrivaient des gens à travers le monde entier. Des gens qui cherchaient des trésors pour les envoyer à Paris, dans la boutique où je travaille aujourd'hui. Quatre-vingt huit reliques magiques pour ouvrir les portes d'un monde secret, l'Agartha. Une organisation s'intéresse alors à ce journal, au Clan de Charly, aux reliques qui sont la clé de l'Agartha. Une organisation menée par un certain Marc Rozia, père fondateur de l'Enfer. Charly décide alors de disséminer les reliques. Des membres de son Clan sont assassinés, et les autres décident de changer de vie pour ne pas être retrouvés. Il faut éparpiller les objets à travers le monde. Eclater la clé en quatre-vingt huit morceaux distincts, défaire le puzzle pour empêcher l'ennemi d'accéder à son but. Beaucoup de réponses, certes, mais des questions restent en suspens. Pourquoi moi ? Pourquoi Jed ? Pourquoi Alexandre ? Pourquoi Lola ? Pourquoi Léopold ? Et d'autres encore, sans doute. Pourquoi nous ? Les « Constellés », comme nous appelle Nathan. Hasard pur, ou rouages d'un système des plus perfectionnés ? Et pourquoi ne veut-on pas me dire ce qu'est vraiment l'Agartha ? Est-ce que Charly a vraiment ouvert la porte d'un autre monde ? Est-ce que c'est une métaphore ? Pourquoi est-ce que Elisabeth ne veut rien me dire ? Pourquoi est-ce que Robert ne nous a jamais dit qu'elle est notre grand-mère ? Tous ces mystères, ce Secret qui se dessine... Est-ce le fruit de mon inspiration, qui me dicte dans la matière du réel de quoi doit-être fait mon roman ? Je rentre de la boutique, le menton enfoncé dans mon écharpe, les mains au fond des poches de mon caban. Il fait froid, il fait nuit. Je descends du métro à Oberkampf, tourne dans la rue de Malte pour rejoindre la mienne, jusqu'au numéro 7. Je tape le code, ouvre la grille fraîchement repeinte. La police est dans la grande cour pavée. Des gens sont assemblés, voix qui tremblent, paniquées. Qu'est-ce qui s'est passé ? Lorsqu'ils m'aperçoivent, Juliette et Sergueï courent dans ma direction. Ils m'expliquent qu'un de nos voisins s'est jeté par la fenêtre de son appartement. Il est mort sur le coup. | |
|
Alsciaukat
| Sujet: :) 10.12.08 12:15 | |
| Ca commence à saigner ! :D Beau résumé :) | |
|